En cette année toute fraiche, nos premières pensées vont au lieux d’expression singuliers, théâtres inimaginables et pourtant bien vrais : celui des Ardoises auprès des bassin de claires d’Oléron, à qui nous souhaitons une belle année !

Pour présenter Anise Koltz, ces lignes peinent. Gérard Noiret s’est emparé de cette entreprise et l’a magnifiée en dix points (revue « En attendant Nadeau no 37). Toute explication se cogne à l’évidence énigmatique et limpide : elle a trouvé ! Quoi ? La formule, en plein visage comme en plein ventre. Ses poésies sont brèves comme un concentré d’existence.
Tout poème est à double sens
Celui qui lit est lu lui-même
par le poème
Extraits de:
la revue internet « en attendant Nadeau » ANISE KOLTZ par Gérard Noiret
- Comédien