Sophie Loizeau dit s’émerveiller pour le texte lu, quand la scansion des phrases l’amène à distinguer un «écouter lu» et «le voir écrit». Dans «ma Maitresse Forme» elle expose deux versions d’une même séquence.
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Crédits : flammarion
Citée dans l’anthologie Flammarion au rang des nouvelles venues, Sophie Loizeau (auteure de quelques livres quand même) souligne dans «La Chambre sous le Saule» paru chez PURH, sa recherche d’une «grammatisation» par bouleversement des conventions, Michel Deguy y voit un territoire marqué où écologie, poésie s’approchent. Plusieurs livres sortent qui nous incitent à y revenir plus longuement.
Puisqu’on parle de voix, le lecteur se confie. Le poème peut apparaitre dans les moments de mise en voix du studio, nous y assistons avec l’équipe, lors de reprises nous écoutons son écriture, impalpable encore. Quelques secondes nous fixent, il faut laisser dire le poème, j’espère y parvenir.
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