La manifestation parisienne du 1er mai, éclipsée par les violences de groupes d'ultragauche, a suscité des frustrations syndicales - avec des craintes pour le droit de manifester - et une polémique politique autour d'éventuelles défaillances policières.
Le gouvernement se défend de toute défaillance dans le maintien de l'ordre au lendemain des violences et dégradations qui ont éclipsé la traditionnelle manifestation syndicale du 1er mai, à Paris.
Récit de Mathilde Bénézet
Analyse d'Annabelle Grelier
Le Premier secrétaire du Parti socialiste réclame sur franceinfo une commission d’enquête parlementaire. Olivier Faure estime que l'attitude du gouvernement conduit, provoque et nourrit les radicalités.
Nous l'entendrons
Les autres titres du journal
Le mouvement de contestation a repris ce matin en Arménie. Les partisans de l'opposant Nikol Pachinian bloque à son appel plusieurs artères de la capitale ainsi qu'une route menant à l'aéroport international.
Nous retrouverons sur place Régis Genté
Facebook tente toujours de redresser son image après l'affaire Cambridge Analytica. Le groupe annonce son intention de se lancer sur le marché des sites de rencontres tout en insistant sur les efforts entrepris pour protéger les données de ses utilisateurs.
Commentaire de Tifaine Cicéron
L'invité de la séquence interview : Gilles Carrez, député Les Républicains du Val de Marne, président de la Commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire à l'Assemblée nationale de 2012 à 2017 :
A propos du souhait d'Emmanuel Macron de supprimer l'Exit tax l'an prochain :
Je ne comprends pas cette décision qui concerne non pas les très riches, mais les hyper riches. (...) Ce sont des banquiers d'affaires qui sont allés voir l'ancien banquier d'affaires. (à l'Elysée) Le président a eu une oreille beaucoup trop complaisante.
- député Les Républicains du Val-de-Marne, président de la Commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire à l'Assemblée nationale entre 2012 et 2017