Des cérémonies silencieuses ce matin à la mémoire des victimes des attentats d'il y a deux ans à Paris et à Saint-Denis. Le chef de l'Etat a rendu hommage aux 130 morts et 350 blessés du 13 novembre 2015. Compte rendu de Sophie Delpont.

Au #Bataclan les noms des 90 victimes des #attentats#13Novembre tués ici sont énoncés pic.twitter.com/D1oIStwL78
— Sophie Delpont (@Sophie_Delpont) November 13, 2017
Hausse sensible du nombre de suicides chez les policiers et gendarmes. Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb va recevoir les syndicats du secteur.
Suivi de Valentine Joubin
Le sommet de l'ASEAN, à Manille, en présence de Donald Trump. Le Président américain loue la qualité de ses relations le dirigeant philippin Rodrigo Duterte.
Analyse de Nadine Epstain
Le Venezuela flirte depuis plusieurs jours avec le défaut de paiement. Le pays aborde une série de rendez-vous cruciaux autour d'une dette que le gouvernement de Nicolas Maduro, en grande difficulté financière, ne parvient plus à rembourser.
Précision de Marie Viennot
La ministre de la Justice Nicole Belloubet réfléchit à la mise en place de pré-plaintes en ligne pour les victimes de violences sexuelles. Déclaration faites après l'annonce par l'AFP qui les plaintes pour violences sexuelles déposées en zone gendarmerie ont augmenté en octobre de 30% par rapport à la même période de l'année précédente.
Explications d'Anne Fauquembergue
La disparation de Jack Ralite, ancien ministre communiste, homme de culture, élu engagé de Seine-Saint-Denis. Député de Seine-Saint-Denis de 1973 à 1981, il avait été membre des gouvernements Mauroy à la Santé puis à l'Emploi 1981-1984.
L'invité de la séquence interview Jean Michel Fauvergue, ancien chef du RAID Député la République en Marche de Seine-et-Marne
Mesurer la menace est toujours difficile. Parce que si l'on arrivait à la mesurer, on arriverait à la prévoir. Si on arrivait à la prévoir, ce ne serait pas une menace. Il faut donc rester dans le domaine des choses qui peuvent évoluer. Menace endogène (pour reprendre les mots du Premier ministre) parce que cette menace a évolué : dans les années 2015, c'était une menace de réseaux, avec des interactions de l'intérieur et de l'extérieur, et là on est plus sur de la radicalisation rapide qui se fait à l'intérieur de notre territoire, souvent par des jeunes gens, Français pour la plupart, et qui passent à l'action souvent avec des moyens low cost mais qui n'en sont pas moins particulièrement destructeurs. Et jusqu'à présent, il ne me semble pas que la radicalisation baisse, pour peu que l'on puisse le mesurer. Ce qui est là aussi un large problème.
- député la République en Marche de Seine-et-Marne, ancien chef du RAID