Le réalisateur Romain Goupil décrit les talents et la persévérance de sa mère pour la cuisine. Elle lui laisse un souvenir incontestablement cinématographique, à mi chemin entre Les quatre cent coups et Zazie dans le métro :
Chaque fois que je vois quelque chose de brûlé sur une tarte ou sur une pate à pizza, je pense immédiatement à ma mère. Elle n’était absolument pas bonne pâtissière.
La pâte qu’elle mettait à cuire - et donc à brûler- était immangeable. Et nous, les enfants de la famille, nous savions que nous devrions goûter!