En 1988, Antoine Blondin acceptait de se raconter au micro de Pierre Assouline. Rendez-vous était pris dans un café. Evidemment dans un café, car comme l'on sait, Blondin vivait, buvait et écrivait dans les cafés. Il s'était livré au travail de la mémoire mais aussi à celui de l'oubli.
Antoine Blondin chez lui en 1979.•
Crédits : ULF ANDERSEN
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AFP
Il fuyait parfois à certaines questions car il est des réponses qui sont des pirouettes ou des échappatoires. L'enfance, la guerre, la libération, voici les trois premiers volets.
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