Jusqu’à présent,les victimes de la guerre d’Algérie ayant subi des dommages physiques devaient être françaises pour pouvoir toucher une pension d’invalidité de la part de l’Etat français.Mais depuis la décision du conseil constitutionnel rendue publique jeudi,cette condition n'est plus un prérequis.
Arrivée en fin de matinée de la délégation algérienne à l'Hôtel du Parc pour la signature des Accords d'Evian sur le Cessez-Le-Feu entre le GPRA )Gouvernement provisoire de la République algérienne) et la France, le 17 mars 1962 à Evian. •
Crédits : AFP
Que change pour les victimes et pour l’Etat français, ce nouveau droit reconnu ?
professeure d’histoire contemporaine à l’Université de Rouen, rédactrice en chef de la revue Vingtième Siècle, membre du Conseil Supérieur des Archives, auteure notamment de « L'embuscade de Palestro : Algérie 1956 », ed. La découverte.
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