Dans notre droit, toute convention portant sur la procréation ou la gestation pour le compte d'autrui est nulle. Mais cette interdiction pourrait peut être céder en raison de plusieurs facteurs : l'évolution des techniques médicales, le nombre grandissant de pays voisins qui reconnaissent cette pratique, et enfin la demande sociale de plus en plus favorable à cette pratique. Les sénateurs ont proposé de légaliser la gestation pour autrui en l'encadrant, mais cette tendance a été en même temps contrariée par un rappel de l'interdiction, tant de la part d'un avis du Conseil d'Etat que d'une décision de la Cour de cassation. Le débat va cependant être relancé lors de la prochaine révision des lois bioéthiques.
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