Loin des états-majors parisiens, Marion Maréchal-Le Pen rassemblait ses troupes dans le Vaucluse, pour visionner le duel télévisé. Alors le ton offensif, voire brutal de la candidate FN est-il bien passé parmi les militants ? C'est un peu plus nuancé qu'on pourrait l'imaginer.

Un reportage de Christine Moncla.
Ce qui me choque le plus, c'est ce qu'a dit Monsieur Macron où il veut flinguer les ouvriers que nous sommes. Si Monsieur Macron passe, je pense qu'on va se retrouver en septembre, en octobre dans les rues et peut-être pas sous les couleurs du Front national ce coup là. Il va comprendre ce qu'est la classe populaire.
Un militant du Front national


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