Louis-Ferdinand Céline lors de l'attribution du prix Renaudot à son roman Voyage au bout de la nuit en 1932
Suite, ce dimanche, en guise d’épilogue pour l’année, du voyage de Ferdinand au bout de la nuit, avec une étape, aujourd’hui, dans un univers auquel la pourriture, la sottise coloniale, le soleil et la noirceur mêlées plonge l’anti-héros célinien dans des abîmes de fébrile perplexité. Après la guerre, nous voici en Afrique.
En poursuivant votre navigation, vous acceptez le dépôt de cookies permettant la personnalisation des contenus, le partage sur les réseaux sociaux, la mesure d’audience et le ciblage des publicités. Votre navigateur ainsi que des outils en ligne vous offrent la possibilité de paramétrer ces cookies.