Petites causes, grands effets. C’est le thème du jour. A l’époque où il rédige Zadig, le gentilhomme Voltaire est plein d’amertume. Son bonheur est lointain et son couple bat de l’aile. Il n’en faut pas davantage à un grand écrivain pour qu’il en fasse une parabole où il dénonce les juges, les courtisans, les femmes infidèles, les hommes imbéciles et les prêtres fanatiques...
Faut-il se résigner aux desseins de la Providence sans chercher à les comprendre ? Pourquoi vaut-il mieux hasarder de sauver un coupable que d’emprisonner un innocent ? N’y a-t-il point de mal dont il ne naisse un bien ? Bienvenue à Babylone...
A la lecture : Julie-Marie Parmentier
A la réalisation : François Caunac