En dehors de l’hydroélectricité, qui constitue une source d’énergie particulière, les renouvelables concernent essentiellement le vent, le soleil, la mer, la géothermie, la végétation et l’agriculture (éthanol), le bois.

De grands pays, aux ressources naturelles pourtant importantes, s’y intéressent de plus en plus (Chine, Allemagne, États-Unis, etc.) et de grandes compagnies pétrolières promeuvent certaines de ces énergies renouvelables, même si le pétrole restera longtemps indispensable, ne fût-ce que pour les transports.
La mer, on va voir pourquoi, est évidemment un élément unique en son genre, de par sa nature et son dynamisme permanent. Précisément, quels sont les systèmes actuels (les Français pensent tout de suite aux usines marémotrices, mais il y a les éoliennes marines) ? Quels sont les promesses les plus reconnues ?
Et pourquoi la France se veut pionnière en la matière ? À ce titre, le groupe naval DCNS, à la réputation internationale (construction de grands bâtiments de surface, de sous-marins nucléaires, etc.) ne cache pas sa volonté de devenir l’un des grandes sociétés mondiales en la matière.
Où l’on voit que l’on reste dans les relations internationales.
Cette émission est diffusée à l'occasion de la première manifestation internationale "dédiée à la chaîne de valeur de la filière des énergies hydroliennes" : le colloque «Paris Énergie hydrolienne» (30 janvier-5 février)

De plus amples informations sont disponibles en ligne sur les sites parisenergiehydrolienne.com et energiesdelamer.eu, où vous trouverez également des vidéos promotionnelles et plusieurs articles documentaires publiés par le cabinet B-Bornemann Conseil .
- directeur de la Division Energies et infrastructures strategiques de la DCNS (Direction des constructions navales)