Pour la première fois dans l'histoire agitée du Pakistan, un régime civil sera arrivé au terme de son mandat et cèdera le pouvoir à un autre gouvrenement, dès l'issue des prochaines élections...
Ce processus doit beaucoup à l'habileté manoeuvrière du président sortant, le veuf de Benazir Bhutto.
Malgré les accusations de corruption qui pseaient sur lui, il a échappé à toute poursuite, a rétabli des relations correctes avec l'Afghanistan et réussi à ménager suffisamment l'armée pour obtenir son soutien.
Jean-Luc Racine est directeur de recherche CNRS, au Centre d'études de l'Inde et de l'Asie du Sud (CEIAS) de l'EHESS, et vice-président d'Asia Centre
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