Taïwan, avec le Portugal en Europe, enregistre l’un des plus bas taux de fécondité du monde. L’indice synthétique de fécondité y est de 1,2, ce qui a des répercussions considérables non seulement sur la cellule familiale mais aussi sur la vie économique dans son ensemble
Un peuple autochtone taïwanais manifestait pour soutenir le parti nationaliste l•
Crédits : Bobby Yip
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Pourtant, l’île avait enregistré un « baby-boom » après l’arrivée des nationalistes en 1949. L’indice synthétique de fécondité (ISF, soit le nombre d’enfants par femmes en âge de procréer) pouvait être de 6, voire 7. Mais, dans les décennies suivantes, Taïwan afficha une baisse sensible de la natalité.
Aujourd’hui, l’ISF est de 1,2, pour une population globale de 23 millions d’habitants. Or, renouveler les générations exige un ISF de … 2,1. Il va de soi que cette évolution a des répercussions considérables non seulement sur la cellule familiale mais aussi sur la vie économique dans son ensemble (réduction de la population active, financement des retraites…). Th. G.
•rngs
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D'un clic, vous pouvez aisément réécouter les quatre précédentes émissions que nous avons récemment consacrées à l'île de Taïwan en sélectionnant les thèmes rappelés ici :
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