Le dernier album de la chanteuse béninoise est un hommage à Celia Cruz; "Monrovia, Indiana" tente de comprendre le vote Trump; le festival Imagine de France Culture ouvre ses portes au Centre Pompidou
Le nouvel album d’Angélique Kidjo vient de sortir et il rend hommage à une autre diva, de la salsa celle-là, Celia Cruz, découverte un soir d’adolescence lors d’un concert à Cotonou, et qui n’a jamais quitté la chanteuse béninoise. C’est d’ailleurs cet aspect-là qui a intéressé Angélique Kidjo : l’identité africaine que Celia a revendiquée en interprétant des chansons liées aux orishas de la santeria, ces divinités afro-US originaires d’Afrique qu’on retrouve au Brésil et dans les Caraïbes, notamment à Cuba.
Le disque vient de sortir sur le label Verve/Universal et la chanteuse sera en tournée internationale, mardi 14 mai au Bataclan à Paris, le 25 à jazz sous les pommiers à Coutances, le 16 juin au Rio Loco à Toulouse, le 3 août à Jazz in Marciac.
Ce weekend, on peut aller voir le dernier film de Frederick Wiseman Monrovia, Indiana qui essaye de comprendre le vote Trump dans cette petite ville agricole du Midwest américain compte 1400 habitants, dont 76% ont voté pour le candidat républicain aux dernières élections présidentielles.
On peut aussi aller au centre Pompidou si l'on est à Paris pour assister au festival de France Culture, Imagine!
Les Dernières Diffusions
