Troisième temps aujourd’hui de notre semaine sur le travail. Après l’éloge de l’incertitude dans le travail créateur, lundi, avec Pierre Michel Menger, l’effet Bartleby avec Gisèle Berkman, hier, et avant la nouvelle invention du travail demain, en compagnie de Dominique Méda, j’ai le grand plaisir d’accueillir aujourd’hui Jacques Darriulat pour évoquer celui qui aspire à être le Newton de la création poétique, celui pour qui l’œuvre n’est pas l’expression d’une Idée ni le fruit d’une inspiration, mais un absolu, celui qui honnit l’enthousiasme et chérit le soin, le labeur, le travail, aussi harassant soit-il, ainsi que la dissipation du moi dans le soi : Paul Valéry.
jacques darriulat•
Crédits : SL
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Radio France
Références musicales:
Offenbach , Ballet des Flocons de neige
Richard Gottainer,Le blues des rimes en ouze
- Les Beattles, Octopus's garden
Extraits:
-Paul Valéry , dernier cours au Collège de France sur l'art poétique (INA, 1941)
Et les "2 minutes papillon" de Géraldine Mosna-savoye à propos de la parution du livre Philosophie de l’insecte , de Jean-Marc Drouin , (Seuil)
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