À Mauvais Genres, nous avons, certes, des parrains tels Jean Boullet, Éric Losfeld ou Jean-Pierre Dionnet. Mais nous avons surtout, et avant tout : une fée-marraine : Charlotte Rampling. Longtemps nous avons rêvé de pouvoir lui tendre le micro, ce fut chose faite, en décembre, grâce à la photographe Élizabeth Prouvost avec qui elle vient de publier un somptueux ouvrage, Regards croisés sur une photo aux éditions Bernard Dumerchez. Grâce également à Suzanne Tarasiève dont la galerie nous a été un lieu idéal d’échanges et de confidences.
La chair de l'orchidée, Patrice Chéreau•
Crédits : Tamasa Distribution
Pendant près de deux heures nous sommes allés, Philippe Rouyer et moi, à la rencontre de certains des moments les plus « mauvais genres » de sa carrière, depuis « The Knack » de Richard Lester jusqu’aux films de François Ozon, en passant par Visconti, Chéreau, Deray ou Oshima.
François Angelier, Charlotte Rampling et Philippe Rouyer•
Crédits : Laurent Paulré
À l’issue de cette rencontre, le mystère Rampling était toujours intact, il nous était simplement devenu plus proche, c’est à dire encore plus fascinant.
Nous vous proposons d’en écouter, ce soir, la première partie. « Danser avec le hasard », Charlotte Rampling, acte I, c’est ce soir, dans Mauvais Genres.
En poursuivant votre navigation, vous acceptez le dépôt de cookies permettant la personnalisation des contenus, le partage sur les réseaux sociaux, la mesure d’audience et le ciblage des publicités. Votre navigateur ainsi que des outils en ligne vous offrent la possibilité de paramétrer ces cookies.