
Trois ans après la chute de Ben Ali, les Tunisiens éliront dimanche prochaine un nouveau Parlement.Pour le pays, ce sera alors le deuxième scrutin libre, pluraliste et transparent depuis la révolution.
En Tunisie, de nombreux citoyens exercent pour cela le droit de veille et d'opposition.
Parmi eux, Habib Kazdaghli, doyen de la faculté des lettres de la Manouba, près de Tunis.Son portrait, signé Nadine Epstain .
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